Le célèbre guide de voyages Lonely Planet (l’une de nos références, quand on en prend un) vient de sortir son top 10 des villes à visiter en 2017. Le best-of englobe tout le globe. Et on n’a évidemment pas été surpris de trouver deux villes américaines en bonne place !
L’an dernier, il n’y en avait qu’une, Nashville, en 9e position. Nous l’avions revisitée au printemps et validée : cette ville country évolue, se dynamise et se réinvente.
Le top 10 2017
- Bordeaux (France)
- Le Cap (Afrique du Sud)
- Los Angeles (Californie, USA)
- Mérida (Mexique)
- Ohrid (Macédoine)
- Pistoia (Italie)
- Séoul (Corée du Sud)
- Lisbonne (Portugal)
- Moscou (Russie)
- Portland (Oregon, USA)
Qu’en pensez-vous ?
On ne présente plus Los Angeles. Ville de cinéma, californienne, elle tiraille souvent les roadtrippers. Son immensité la rend très difficile à aborder et les embouteillages dégoûtent une bonne partie des voyageurs, qui pensent visiter rapidement cette mégalopole. Au-delà de la visite presqu’obligatoire d’Hollywood Blvd, d’Universal, du Griffith Observatory, LA recèle de lieux insolites et de quartiers avec leur identité propre, sans parler des secteurs sublimes au bord de l’océan (Santa Monica, Hermosa, Venice…). A visiter en plusieurs jours, en choisissant bien où s’installer. Autre bonne nouvelle pour les voyageurs : depuis mai 2016, une ligne de métro (Expo) a rapproché Santa Monica (et son pier) du downtown (environ 50 minutes).
> Nous avons consacré un article il y a peu sur le nom de LA. Pourquoi Los Angeles ?
Et que dire de Portland, à part qu’on a hâte d’y retourner ! La plus grande ville de l’Oregon dispute le titre de ville la plus « weird » (bizarre) des Etats-Unis à notre chère Austin (Texas). Dynamique, branchée, verte, elle offrira une vue (partielle) sur la très attendue éclipse de soleil du 21 août 2017. Une ville où il fait bon vivre, évoluer, découvrir. Un coup de coeur.
On attend bien sûr la liste spéciale US du Lonely Planet. On vous tient au courant.
Source : Lonely Planet
Oups, Anthony Quinn, merci le correcteur :)))
Pour avoir la chance de venir régulièrement à LA pour faire des achats pros, je confirme ! Tout ceux qui sont juste « passés » par là n’ont pas accroché. Par contre quand on vient « Vivre LA » sans hâte au quotidien, je dirais presque même sans choisir le quartier, on finit par l’avoir dans la peau 🙂 Flâner au rythme de Downtown et son charme désuet ou high-tech, déguster des spaghettis dans un wagon au décor kitch, chercher le portrait grandeur building d’Anthony Queen au détour d’une impasse, manger des tacos-pickles à même les petits camions latinos, faire la queue sur le trottoir du plus réputé vendeur de crêpes du quartier des studios, chiner des fringues à 4 sous dans Santee Alley, la rue la plus délirante du Fashion District, voir un spectacle du Cirque du Soleil près du Stapple Center, boire un verre tout en haut du Mariott avec vue imprenable sur la ville, manger à pas d’heure l’incontournable steak de chez Pantry, le célébrissime restaurant qui ne ferme jamais, se demander en passant quelle sera la nouvelle fresque sur le Flower Street Hotel, diner sur le Pier de Santa Monica où finit la mythique 66, et j’en passe … Nous avons toujours cet espèce de frisson d’exaltation quand nous abordons l’échangeur qui surplombe la ville en sortant de l’aéroport et que la vue nous dit : Welcome Home !
Alors moi je valide totalement Portland c’est une ville que j’ai adoré !
Par contre LA, non, vraiment pas… je devrais peut être y retourner pour l’apprécier différemment, mais une fois m’a suffit, je n’ai pas du tout accroché ! 😉
LA, c’est tellement immense qu’il faut bien s’organiser. Et vouloir tout voir n’est pas une solution pour apprécier la mégalopole. Il vaut mieux prendre son temps ^^